| Madame Suzanne DOSSOGNE Il y a bien longtemps, d'avant la Libération à 1950, j'ai fréquenté un groupe de jeunes espérantistes avec Raymond Philippon, Berthe Dechief, votre Maman et quelques autres. J'ai gardé d'elle le souvenir de sa douceur et de sa gentillesse. Acceptez mes plus sincères condoléances.
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