Dans les moments de peine je pense toujours à la façon dont Khalil Gibran parle du chagrin, en disant que nous pleurons sur ce qui fut notre délice. Plus ce que nous avons vécu a été fort et beau , plus nous versons de larmes. Remercier d 'avoir eu la chance de connaître une relation de cette rareté aide à accepter le départ d'un être aimé. Courage. Arlette et Joseph

Boschi -Gilles- 02-08-20