Témoignage
apres quatre ans d absence nous pensons toujours a toi comme si s etais hier et que tu est touours parmis nou pourtant on te vois plus mais on pense tous jours a toi et narrivons pas a nous dire que toi tu es deja dans l au delas on se retrouvera un jour bis
;;;;;;;;; ;;;;;;;- 16-11-10
Témoignage
J'ai travaillé en collaboration directe avec Emile pendant 8 ans à la Fondation rurale de Wallonie.
Il a été présent lorsque j'ai moi-même perdu mon mari il y a 5 ans.
Je ne pourrai pas être à l'enterrement ce mardi... de toute façon, Emile était trop proche de moi et je ne sais pas si j'aurais eu la force de supporter.
Mais je pense énormément à lui et j'irai déposer quelques pensées sur sa tombe.
Hier lorsque l'on m'a appris son décès et la façon dont il est mort, j'ai dit qu'au fond, même si c'était prématuré, comme pour mon époux (infarctus à 44 ans), il est mort heureux.
Il revenait du "bois", ce qu'il adorait, et en plus il était avec sa copine Rita, qu'il adorait.
Que serait-il devenu s'il avait survécu avec soit un bras ou une jambe arrachée????
Emile avait le coeur sur la main, il avait un coeur énorme.
Il était près à rendre tous les services du monde... bon d'accord... on ne pouvait pas être sûr de l'année... comme nous avons pû rire quand je le chariais sur ses promesses qu'il faisait!
"Je viendrai... j'irais... promis... je serai là!"
Et le moment venu... pas d'Emile!
Pourquoi? Parce qu'il voulait rendre service à tout le monde et ne pouvait pas tenir ses promesses à heure et à temps.
Il avait ses "coups de gueule"... mais dans le fond de lui-même il était des plus sensible.
Je suis vraiment heureuse pour lui, même si sa disparition laissera en moi un vide immense, qu'il soit décédé HEUREUX.
J'ai aussi pensé, qu'au fond, il est mort comme son papa.
Il doit me rester des photos de lui, si la famille désire les avoir, vous pouvez me contacter.
Je vous connais tous, vous sa famille, Rita, dont il me parlait aussi.
Il parlait très très souvent de sa famille, de ces filleuls.
Il m'a raconté il y a à peine une ou deux semaine, que son petit filleul, qui à l'âge de ma petite fille, avait cassé une statuette.
Ah Emile... je ne l'oublierai jamais... car il est innouliable... de par ses moments de déprime et de par ses bons moments.
Si vous pouvez, durant la messe, joindre quelques phrases de ce que je viens d'écrire, je serais très heureuse.
ANNE CORNELIS- 29-10-06