Témoignage
Salut l'ami. Que de fois ne t'ai-je pas vu le long des chemins car les kilomètres ne te faisaient pas peur. Tu étais là par tous les temps. Je garderai longtemps, ta silhouette familière de vétéran voyageur, au fond de mon coeur.
Jacqueline GLIBERT- 26-02-07