Condoléances
La vie est une grande toile qui se fait, se défait, se reconstruit chaque jour. Celle de Fernand ne fut certainement pas un long fleuve tranquille.
Il aimait parler de ses différents métiers, de ses déplacement sur les chantier, de la période de la Résistance, de tous ceux qui avaient fait un bout de chemin avec lui.
Il avait ses idées, bien ancrées, bienn carrées.
D'ailleurs, lors de son dernier séjour à l'hôpital, alors que ça ne se passait pas comme il l'entendait, l'infirmière lui disait "Oui Chef ... enfin maintenant on peut dire "Petit Chef"" ... le silence et le sourire de Fernand en disaient long sur cette réflextion.
Il était fier de sa famille, de sa fille.
Il aimait entendre parler de ses petits-enfants, de ses arrières-petits-enfants.
Il suivait les résultats sclolaires de Charlotte et Lucie avec beaucoup de fierté. Il s'attendrissait devant Loïc.
Il espérait d'autres arrières-petits-enfants.
Il y a quelques jours, il me disait :
Vous savez, Annie, je prie tous les jours. Je n'ai pas peur de mourrir ... mais j'ai peur de ne pas retrouver Malou.
Je suis sûre, qu'aujourd'hui, c'est ensemble qu'ils nous regardent.
Les morts ne sont pas absents. S'ils sont invisibles à nos yeux, il n'en sont pas moins toujours présents dans le coeur de chacun d'entre nous.
Merci Fernand de m'avoir permis de faire un bout de chemin avec vous... et avec votre famille à qui je présente, de tout coeur, mes plus sincères condoléances - Annie
annie verslegers- 07-07-09
Condoléances
Josette
Nous venons d'apprendre la triste nouvelle. Nous te présentons, ainsi qu'à tes enfants et petits-enfants, nos sinçères condoléances.
Recevez tous de gros bisous de notre part.
En toute amitié.
Brigitte et José.
José et Brigitte Cobraiville - Weyders- 07-07-09