Hommage
Maman, ma mère,
Tu es partie sans me dire au revoir
Et je ressents tant de vide dans mon cœur
La douleur monte en moi.
Des larmes coulent dans mes veines
A ma tristesse se mêle la colère et
la révolte se libère malgré moi et tu sais pourquoi.
Ma femme et ma soeur m’étreignent, serré dans leurs bras, elles comprennent ma peine, mais elles ne peuvent te remplacer.
Tu es partie trop tôt, trop tôt pour tenir la main de ton prochain arrière-petit-fils et poutant tu voulais l’attendre.
J’aurais encore voulu partager avec toi mes joies et mes chagrins
Mais tu es partie trop tôt, trop tôt pour me réconforter.
Je sais que de là-haut tu me regardes, tu es fier de moi
Fier du fils que je suis devenu.
Jamais je n’oublierai ton sourire et ta tendresse
ils sont figés dans mes pensées.
Alain ton Fils
Alain BOVRISSE- 31-01-11