Monsieur Serge GOEDERT
| Domicilié à Longeau (6780) Né à Rachecourt (6792) le mardi 22 août 1939 Décédé à Arlon (6700) le mardi 5 juillet 2011 à l'âge de 71 ans Epoux de Madame Martine DIDERICH
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Espace « condoléances »
Cet espace condoléances a été créé le mardi 5 juillet 2011.
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Les hommages
Hommage
Liebe Familie Goedert,
Serge war mein ältester Bruder, er war mein Halbbruder. Wir haben uns im Jahr 2008 das erste und leider letzte mal gesehen.
Unser gemeinsamer Vater war Jean-Louis Goedert, er war als Kriegsgefangener in Deutschland und hatte mit meiner Mutter ein Kind gezeugt - mich. Jean-Louis Goedert und meine Mutter Gesine Gieschen sind beide dafür hart bestraft worden.
Im Jahr 2007 habe ich meinen Vater gesucht und auch gefunden, im Jahr 2008 fand ich auch meine Geschwister Serge, Marie-Louise und Claude. Es gab leider nur einen Kontakt mit Serge, es tut mir sehr leid.
Klaus Gieschen- 06-10-11
Hommage
n'etant pas dans la région au moment du décès de serge c'est avec beaucoup d'émotion que nous avons apris son départ ,que notre amitiée reconnaissante soit un réconfort pour toute la famille
marcel michel- 23-07-11
Hommage
SINCEREMENT TOUCHES PAR LE DEUIL QUI VOUS FRAPPE, NOUS VOUS PRESENTONS TOUTES NOS CONDOLEANCES.
Messieurs DEGODENNE Francis et Philippe
GENERALTOUR SA- 07-07-11
Hommage
Nous venons d'apprendre avec surprise et tristesse le décès de Monsieur Serge Goedert.
A toute la famille, nous présentons nos sincères condoléances.
Mr et Mme Godfrind-Hinkeltz
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Jean Godfrind-Hinkeltz- 06-07-11
Hommage
Serge,
Nous avons parcouru ensemble le tour de la terre... De l'Auberge du Brabant chez le père Hans à La Bresse aux Sapineaux de Courchevel, partageant les pique-niques, les descentes (dangereuses!) en ski, les visites. Tu m'as fait découvrir le vrai tourisme, celui du contact direct, près des gens. Rappelle-toi, le fameux zinc de Montmartre ! Tu "chauffais", tu guidais, tu étonnais avec tes informations connues seulement des routards et des gens de terrain, tu arrangeais les "bidons" quand ça allait mal... Tu trouvais toujours une solution ! Puis tu es devenu "patron", même si tu roulais toujours "pour dépanner" quand il le fallait. Tu t'es tissé une toile de relations formidable; tu connaissais tout le monde ! Mais le dimanche matin, à Rachecourt, c'était réservé pour les "vrais potes", ceux du terroir. J'ai assisté au développement de ta "société". Ton taxi noir, après l'usine et le camion. Ton premier bus ! Quelle fierté ! Et puis la flotte s'est agrandie. On voulait te "freiner"... mais tu n'arrêtais pas d'investir. Tu pensais aux enfants. Tu étais l'ami des animaux aussi. Des anecdotes? J'en ai une remorque pleine.... Le plus important: tu étais un homme de coeur, parti de rien, plein de courage et d'idées. Rarement tu te plaignais. Avec Robert, Gilbert, Jean-Marie, Narcisse et les autres, tu nous manques. Salut vieux frère, salut l'artiste !
François Back- 06-07-11