Très Chère Karine,

Tu étais ma Fée Clochette, qui d'un coup de baguette magique, rendait ma maison propre. Toujours pleine d'énergie, tu astiquais et frottais une maison bien désordonnée. Ca fait déjà un bout de temps que tu me manques. Nous nous échangions des recettes (encore aujour'hui, j'ai regardé ta recette de bouillon de poulet aux petits légumes), et mous parlions de nos enfants. Tes yeux brillaient de fièrté lorsque tu me parlais de Sarah et de sa passion pour le cheval. Nous parlions aussi de la vie ; tu me disais à quel point il fallait profiter de chaque moment, parce que tu savais la vie fragile.
Si la perle du nettoyage que tu étais me manque beaucoup, c'est aujourd'hui la femme extraordinaire qui me manque par dessus tout. Tu étais quelqu'un de très riche, qui valait vraiment la peine d'être connu. Merci pour ta générosité et ton sourire. Merci pour nos discussions si humaines. Je t'embrasse. A plus tard, ailleurs. Isabelle.

Mosseray Isabelle- 12-09-11