Bonjour monsieur et madame Hartman,
nous ne nous connaissons pas mais nous apprenons le décès de votre chère Laureline qui avait à peu près le même âge que notre chère Aline et qui a été inhumée le même jour.
Bien que les circonstances soient différentes, votre peine est évidemment aussi grande que la nôtre et nous nous y associons de tout cœur.
Beaucoup de courage à vous aussi.
Deux diamants ont disparu mais deux étoiles brillent maintenant au-dessus de nos têtes.
Pierre et Chantal Bastin-Beaufays

Pierre et Chantal Bastin-Beaufays- 06-04-16

Bonjour,

Je tenais à vous remettre mes condoléances pour le décès de Laureline.
J'étais dans sa classe en primaire à Wonck (l'année au dessus), et je me souviens d'une petite fille qui avait toujours le sourire malgré tous les soucis qu'elle avait déjà (vue, rein, etc.). C'était une battante ! Elle était et sera toujours une belle preuve de courage et d'humanité.
Elle manquera à toutes les personnes qui la connaissaient... je vous souhaite beaucoup de courage dans cette épreuve !

Céline Coenegrachts

Céline Coenegrachts- 29-03-16

Ma très chère Laureline,
Que de souvenirs. Je me souviens qu'un jour, je t'ai croisée, petite, dans la salle d'attente de Pouplin. Je me rappelle que je me suis dit: "Laureline... tiens... mais quel joli prénom..."
Ensuite, nous nous sommes mieux connues lorsque je te voyais régulièrement pour t'apprendre la dactylo. Quel courage tu as eu, et cela, sans jamais baisser les bras. Tu voulais y arriver et tu as réussi! Tu as appris le braille et tu as continué, toujours motivée et bien déterminée à réussir tes études.
Le néerlandais, quelle histoire entre nous!!!! Le pire? c'est que je ne suis toujours pas devenue bilingue... on riait bien à chaque fois que je te voyais débarquer avec tes feuilles à la main... toi, un peu gênée de m'apporter encore du néerlandais et moi, qui aimais te taquiner à ce sujet...
Ta maman, toujours présente, s'excusait de m'apporter autant de travail, mais quel courage elle a eu, à porter ces études avec toi et t'accompagner tout le long de ton parcours. Tes parents ont toujours été très courageux et toujours présents, un amour sans fin de parents extraordinaires, que tu dois être fière d'eux...
Enfin, je me souviens d'un jour, où j'effectuais la fermeture du bâtiment et que j'attendais avec toi ton papa. Nous avions alors longuement discuté sur des projets que tu avais, plein la tête, amour, études, travail,... Malheureusement, la vie en a décidé autrement et mon coeur est bien triste, j'aurais aimé que l'histoire se passe autrement.
Sache, ma chère Laureline, que je te garderai toujours au fond de mon coeur. Tu peux être fière de ton parcours, tu vas beaucoup nous manquer...
A bientôt, un jour...
Je t'embrasse

Catherine Aussems- 30-03-16