Monsieur Charles PIÈRARD
 |  Domicilié à Stockem (6700)
Né à Soy (6997) le lundi 23 décembre 1946
Décédé à Arlon (6700) le jeudi 16 mars 2017 à l'âge de 70 ans
Epoux de Madame Claire WILLAIN
|
Espace « condoléances »
Cet espace condoléances a été créé le jeudi 16 mars 2017.
10318 visites
Tous les messages
Condoléances
Monsieur Pierard, un grand homme: un battant dont le sourire, la sympathie, l'humilité et la gentillesse vous marque à jamais!
Je prends une vive part à votre chagrin et vous envoie le témoignage de ma sincère affection.
Je vous embrasse bien fort.
Cindy
Cindy TOSCANO- 20-03-17
Condoléances
Bonjour,
Nous voulions vous envoyer quelques mots de soutien en ces jours de peine.
Laetitia et Rudy Trodoux-Werner.
Laetitia Werner- 19-03-17
Condoléances
Sensibles au chagrin qui vous frappe, nous tenons à vous exprimer nos sincères condoléances.
En ces moments difficiles de votre vie, nous ferons notre possible pour vous apporter notre soutien et nous veillerons à ce que votre deuil se déroule en toute sérénité
Funérailles Colles & Dominicy
Arlon - Athus - Etalle- 16-03-17
Témoignage
Nous vous présentons nos plus sincères condoléances, nous pensons à vous dans ces moments douloureux
Le Bureau d'assurances MICHEL, Christian, Jonathan et Wendy
Jonathan, wendy et Christian MICHEL- 21-03-17
Hommage
Charles, mon ami, mon partenaire de scène, mon voisin, mon copain de rue…
Comment gérer cela ?
Souviens-toi de toutes ces années, cette amitié de presque 20 ans. Et quand on aime on a toujours 20 ans.
Tu étais un homme fin, cultivé, délicat et tellement épicurien.
Je me souviens de nos soirées des fins novembre. Tu tenais le premier rôle, moi j’étais ton compagnon de scène. Pour les besoins du scénario tu m’avais coupé la langue. Un marseillais qui faisait le père Fouettard ne pouvait pas parler.
Tu étais le Grand Saint, le Grand Saint Nicolas… Et moi le Zwarte Piet’. Quelles belles soirées. Quels délicieux moments. Sur scènes (il y en avait plusieurs sur la même soirée) avec les enfants, tu parlais et étais tellement rassurant. Moi depuis des années, j’avais rangé mon fouet et distribuais des bonbons à volonté selon tes vœux.
Te souviens-tu du soir où nous avions fini la tournée chez moi. Mes deux garnements avaient bourré leur culotte de papier journal pour amortir la fessée du Père Fouettard…
Et au café du quartier… Toi en Saint-Nicolas et moi en Père Fouettard. La patronne était là avec les poumons de la Cicciolina. Quand tu l’avais saluée, tu lui avais demandé si elle avait conscience qu’elle embrassait un Grand Saint…
Et le Whisky….
Tu vas me manquer. Mais là-haut tu vas mettre l’animation.
A bientôt L’Ami.
LAURENT GOMEZ- 19-03-17