Mr Pecasse … ou l’homme, le professeur, le personnage « différent » qui passe dans votre parcours de vie, qui vous permet d’être différent à notre tour, grâce à sa magie voir folie de l’instant, il ne laisse personne indiffèrent et vous marque pour la vie, ma vie … merci Mr Le professeur.
Certes, son corps disparaît mais des milliers de part de lui vont continuer à briller. Merci à ce Grand homme.
Une ancienne élève du Cpse
Maria Catania

Maria catania- 13-05-23

Je tiens à vous présenter mes plus sincères condoléances.
Jean-Pierre a été et restera un collègue et homme très respecté et admiré. Je suis émue de sa disparition. Je vous envoie toutes mes pensées de soutien. Le ciel compte une étoile brillante en plus. ✨

Christelle Claine- 13-05-23

Jean-Pierre, c’est « un de mes papas ». Celui qui passait des heures à me faire connaître les formes et les couleurs, les jeux de mots et de mémoire, me faisait sauter sur ses genoux et m’a présenté une nouvelle famille de gens merveilleux au cœur immense.

Toujours théâtral, il présentait ses omelettes à l’heure du prime time de Jean-Pierre Foucault pour m’impressionner à l’hôpital et fit un jour le tour de la province pour me trouver une barbe-à-papa quand ça n’allait pas.

Avec Jean-Pierre, j’ai voyagé, visité des musées, vu des films qui m’ont marqué et ne me quitteront jamais. Chaque moment partagé était de qualité.

Si l’ambiance au funérarium était étrangement vivante, je crois que c’est pour ça : parce que tout ce qu’il a partagé restera vivant en nous (comme ses organes, du reste).

Jean-Pierre, ce personnage qui marque l'âme.

Je t'embrasse.

Célia Vrancken- 16-05-23

A dire vrai, ces dernières années je croisais plus souvent Jean Pierre aux spectacles de théâtre vivant qu'à ceux de l'écran blanc. La dernière fois, c'était à Hasselt début avril pour le très beau "Nomad" de Sidi Larbi Cherkaoui. Il était égal à lui-même, souriant et détendu.
Romanistes liégeois tous deux, nous avions été quelques mois collègues dans un Athénée calme et tranquille proche d'une Ourthe alors paisible. Cette nonchalance ne pouvait nous convenir longtemps. Nous mutâmes.
Pensée là où tu es, Jean Pierre, et gardes-y ton humour discrètement ravageur.

Robert BERNARD- 14-05-23